Lundi matin, sept heures. Je me levais après avoir laisser mon réveil sonner pendant quelques minutes. Je haïssais ces matins où le soleil n'était toujours pas là. Je me consolais en me disant qu'il arriverait bientôt, quand je partirais à l'école. Mais bizarrement, pendant que je mettais mes chaussures, la nuit pesait toujours derière la fenêtre.
En arrivant dans la rue, je vis du monde regardant vers le ciel. Eux aussi avait peur. Le solei qui disparaît ce n'est pas un évenement ordinaire ! Peut -être une éclipse... mais aucune n'avait été prévu depuis un moment. Deux femmes en pyjamas se murmuraient que l'étoile avait été enlevée par des Martiens. Et puis, tout d'un coup, les personnes près de moi commencèrent à crier :
"Le soleil a disparut !! Il est parti ! A l'aide ! "
Les gens devinrent fous. On hurlait, on courait, on se bousculait. Le chaos était total. Les alarmes des voitures sonnaient et on pouviat distinguer des flammes qui s'èlevaient vers le ciel au loin.
Perplexe, je regardais autour de moi : le soleil, disparut ? Qu'allions nous devenir ? Comment vivre sans lui ? Un homme plus calme que les autres, grimpa sur un poteau et cria de toute ces forces :
"Calmez-vous, calmez-vous !". Ses efforts etaient vains. La foule m'emportait déjà sur la place principale.
"La pollution nosu a-t-elle enfin englober notre terre ?" criait quelqu'un,
- Ou peut-être il a explosé ! Oui j'en suis sûre il a explosé !"
Tous tournaient au ridicule. La police était arrivée que pouvait-elle faire contre cette masse gigantesque qui remplissait la place à une vitesse incroyable ?
Mais soudian, comme par miracle, il apparu. Plus magnifique que jamais. Le soleil, notre étoile était revenu. Üne éclipse ! C'était juste ça !" Une réponse aussi improbable se répendit et calma la foule d'une manière générale. Une éclipse ? C'est tout ? Des cris de joie se firent entendre. Aussi vite que la masse s'était formée, elle diparut au fur et à mesure que le soleil bien jaune grimpait dans le ciel bleu.
Après quelques minutes, je me remis du choc. Qu'était-il arrivé ? Le saurait-on un jour ? Par contre une chose que je savais en courant à perdre haleine vers la station de bus, c'était que maintenant j'étais en retard au collège !
